La faim des haricots !

Et voilà… Aujourd’hui c’est mon dernier jour de stage… Et pour ce dernier jour, j’ai décidé de ne pas faire les choses à moitié. J’ai commencé par un rendez-vous au 25^ème étage pour signer mon contrat de travail. Ce soir, c’est repas entre collègue dans un petit resto du 5^ème arrondissement. Pierrades et fondues à volonté, ça s’appelle la Brouette ! Nous serons une douzaine, première fois depuis plusieurs moi qu’on arrive à réunir tout le monde !
Ahhhh, ça y est, c’est fait, je suis officiellement embauchée chez UNILOG. Je commence le 16 Juillet. Qu’est ce que je vais faire jusqu’au 16 ? Ne vous inquiétez pas pour moi, j’ai un planning très serré, je ne risque pas de m’ennuyer.
Demain je prends le train pour Toulouse et oui vendredi, c’est ma soutenance de stage. La dernière chose à régler avant la fin définitive de ma vie d’étudiante !
Samedi, dimanche, lundi, je suis chez Edwigette à La Londe, soleil, plage, balades, sorties, farniente…
Mardi, mercredi, jeudi, vendredi, je suis à Toulouse pour revoir un peu tout le monde avant le samedi fatidique du : 7/07/07. Il s’agit de la date de ma cérémonie de remise des diplômes.
Dimanche, lundi, mardi, mercredi, je suis à Périgueux.
Et enfin, jeudi, vendredi, samedi, dimanche, je suis à Lyon afin de profiter un peu de ma famille, d’Elodie et d’Amélie revenue de son périple en Australie. Il faudra aussi que je fasse mes cartons… Et oui, je vais déménager ! Après la recherche de boulot, je suis passée à la recherche d’appartement. Ce n’est pas le cœur léger que je quitte Nathalie, bien au contraire ! Snif ! Mais elle va aller vivre à Franconville avec son JM. Re-snif !
Je n’arrête pas la colocation pour autant, je partagerai mon futur appartement avec Camillou qui a elle aussi signé un CDI à Paris. Déménagement prévu pour le 1^er Aout.
Voilà, tout ça pour dire que mon stage étant fini, je ne sais pas encore si je vais continuer ce blog ou pas. Je verrais à mon retour de vacances. En attendant, merci à tous ceux qui ont suivi mes trépidantes aventures parisiennes (même si ces deux dernières mois, les mots étaient un peu moins fréquents).
Bisous à tous !